retour en Amérique

Me voici de retour dans une ville que j’ai connue uniquement sous la neige et que j’ai bien du mal à reconnaître maintenant que tout est vert et fleuri.

S’il y a bien des gens qui ont su appliquer le terme de ville à la campagne, ce sont les américains. Quand on y pense nous, on se dit que c’est une gageure, un défaut de langage, bref une impossibilité conceptuelle. Pas ici. Il faut le voir pour croire qu’un tissus urbain  peut tout à fait s’implanter dans une paysage agreste, bucolique, si doux à l’oeil qu’il fait bon y vivre.

Le matin, je pars faire ma petite promenade à la fraîche, parce qu’ensuite il fait beaucoup trop chaud.

J’ai ainsi glané pour vous quelques photos des toutes premières maisons qui bordent l’Avenue. Il y en a de toutes les couleurs, de toutes les mentalités, la fantaisie ne manque pas, ni le goût de l’intime, de l’élégant, jusqu’aux envies de châteaux. Et, rarement, une maison toute simple, blanche à la porte bleue.

Bien sûr, on a droit aussi à la fameuse maison bleue, pas toujours on the top of the hill et juste assez déglinguée pour faire croire qu’elle sort tout droit de la chanson de Le Forestier.

Pas grand chose de plus à dire.

Je suis déjà prise dans le tourbillon de Juliette qui, ce n’est pas parce qu’elle est enceinte qu’elle se permet d’être dolente. Toujours la même, pleine de projets, parmis lesquels, éventuellement, la naissance de son enfant dans moins d’une semaine maintenant.

Elle nous emmène à la plage dimanche et visiter Yale par la même occasion, sans oublier un petit tour chez Ikéa.

Jamais fatiguée dit Alexandre avec un peu de regret !....

Et moi aussi.

Ce sera tout pour aujourd’hui.

Je reserve d’autres surprises pour plus tard.

Pour les maisons, allez visiter l’album.

                   

Quant à ce lys, je le dédie à Maurice, en réponse à celui des sables qu’il m’avait envoyé.

Heureuse de retrouver mes lecteurs.

A plus.